Alain Scohy - Alain

Alain SCOHY
Psychothérapeute
Travail somato-psycho-spirituel
Docteur en Médecine
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Alain Scohy

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Je suis docteur en médecine, diplômé de la faculté de Médecine de Montpellier depuis 1973. Au plan professionnel, je n’ai jamais démérité de mon titre universitaire. J’ai toujours fait de mon mieux et respecté mon serment d’Hippocrate. Jamais aucun de mes malades ne s’est plaint.
Généraliste à la campagne (Aveyron, à Salles-Curan) de décembre 1973 à mai 1978, j’ai été très vite effaré de l’état de santé déplorable des enfants que je suivais et vaccinais selon les directives gouvernementales...
Digression : les vaccins ne sont pas des actes médicaux !
Même si la grande "RELIGION MEDICALE OFFICIELLE" en a fait son "SACREMENT", il faut bien comprendre qu'ils résultent de directives gouvernementales, et non d'une science.
J'ai mis bien du temps à le comprendre.
Je suis persuadé aujourd'hui que la finalité des vaccins  relève d'un génocide organisé – et pour le moment plus ou moins raté – orchestré par nos gouvernements successifs, depuis l’époque de M. Louis Pasteur au 19ème siècle.
L’aventure actuelle du Covid risque, par contre, d’être beaucoup plus efficace. Il est d’ailleurs étonnant que cette expérimentation sauvage d’un soi-disant vaccin soit pratiquée aujourd’hui par des pompiers, des vétérinaires, des dentistes, des pharmaciens … et quand même parfois par des médecins. Il est donc clair qu’il ne s’agit pas d’un acte médical.

Je reviens à mon histoire...

Les enfants que je suivais à l’époque (il y avait 10 à 12 naissances par an dans mon secteur d’activité) étaient natifs de ce pays rude mais sain. Ils auraient dû être robustes et acclimatés à ce pays. Or, ils étaient malades gravement 25 jours par mois en moyenne de fin septembre à fin mai chaque année. J’ai été obligé de m’équiper en oxygène pour pouvoir les transporter d’urgence à l’hôpital (à 40 km de mon cabinet). En effet, je n’avais bien souvent pas le temps d’attendre les pompiers ou l’ambulance compte tenu de la gravité de leur état. Pour éviter de leur faire subir des antibiothérapies aux effets secondaires non négligeables, j’ai appris alors la technique de thérapie homéopathique. Mais rien n’était vraiment efficace.
J’ai cru un premier temps qu’ils étaient victimes des modes alimentaires du moment. J’ai donc conseillé aux mamans de revenir à des habitudes ancestrales empreintes de bon sens comme l’allaitement. Cela n’a rien donné de positif.

J’ai alors remis en cause pour la première fois ce que j’avais appris sur les bancs de la faculté de médecine de Montpellier. Constatant que de 0 à 9 mois, un bébé vit une poussée de croissance colossale (4 à 5 cm par mois, 500g à 1 kg par mois), je me suis dit que l'administration des vaccins, que je considérais alors comme des maladies atténuées destinées à renforcer leur immunité, était peut-être trop précipitée : nous pouvions attendre pour les faire qu’ils soient sortis de cette période de croissance accélérée.
J’ai donc conseillé aux mamans d’attendre le 10ème mois pour commencer ces inoculations. Et là, j’ai constaté qu’ils se portaient à merveille, avant comme après les vaccins ! Plus jamais de bronchiolite asphyxiante, de gastro-entérite, d’asthme, d’infections ORL majeures. J’ai été le premier stupéfait.

Quelques années après, je me suis installé comme médecin homéopathe à Orange, dans le Vaucluse. Je continuais à préconiser les vaccinations, mais une fois dépassée cette période de croissance de 9 mois.
C’est un de mes clients qui m’a ouvert les yeux sur la nocivité des vaccins, quelques années plus tard : il faut savoir que chaque vaccin renferme des « adjuvants de l’immunité » (terme officiel) dont le principal est l’HYDROXYDE d’ALUMINIUM. Selon le Dr Garnier du centre antipoison de Paris, ce produit est toxique pour le cerveau, les reins et le squelette de manière irréversible à partir de 60 microgrammes par litre de sang. Chaque vaccin en contenait 1250 microgrammes !

Le vaccin Hépatite B
Début 1994, le ministre de la Santé de l’époque, M. Bernard Kouchner, lançait la campagne de vaccination contre l’hépatite B dans les collèges et les lycées de France. C’était le premier vaccin obtenu par génie génétique (OGM). Chaque dose contenait bien sûr 1250 microgrammes d’Hydroxyde d’Aluminium, qui venaient s’ajouter aux précédentes inoculations : il faut savoir que l’Aluminium n’est pas éliminé normalement par l’organisme humain car il est "confondu" avec le Fer – qui, lui, est vital pour le transport de l’oxygène dans le sang. Ce poison s’accumule donc dans le squelette, le cerveau et les reins.
Je croyais encore à l’époque que vacciner était un acte médical, et je me suis permis d’écrire à mes confrères du Vaucluse pour leur recommander la prudence. J’ai envoyé des milliers de lettres – l’informatisation n’était pas encore au niveau actuel – c’était le seul moyen dont je disposais. Compte tenu de l’énormité du travail, j’ai demandé à mon Ordre départemental de diffuser mon courrier dans la revue que cet organisme envoyait régulièrement à tous les médecins de France.

En réponse à ma demande, l’Ordre a porté plainte contre moi devant lui-même. Belle justice ! Après deux ans de débats, j’ai comparu à Marseille en décembre 1995.
Pour ces gens-là, j’étais à plaindre si je m’obstinais
à « penser » par moi-même…
La sanction de radiation définitive pour délit d’opinion est arrivée en février 1996 avec effet au 1er avril 1996. J’ai décidé de démissionner. Malgré cette démission, l’Ordre National a confirmé la peine en septembre 1996.
Pourtant, le ministre de la santé avait suspendu cette campagne de vaccination en mai 1996 compte tenu des innombrables effets secondaires qu'elle avait provoqué (Scléroses en Plaques en particulier).

Peu après, j'ai eu droit à un contrôle fiscal. N'ayant pas de compte en banque faute de revenus, j'ai été redressé sur la base de mes revenus avant la radiation... Et en novembre 2002, j'ai reçu un avis de CONTRAINTE PAR CORPS (c'est-à-dire : emprisonnement jusqu'à ce que la prétendue dette fiscale soit payée) !
Avec mon épouse, nous sommes allés vivre en Espagne, où nous sommes restés jusqu'en septembre 2017.
Nous sommes dorénavant installés en Auvergne et nous nous plaisons vraiment beaucoup dans cette région.

La sanction de l'Ordre a eu au moins un avantage essentiel.
Bien sûr, elle m'a permis de comprendre que je ne faisais pas partie de ces "gens-là" !
Mais surtout, elle a libéré mon esprit de toute contrainte dogmatique.
J'ai pu faire de mon métier de médecin un art et une science en allant puiser à la source auprès de véritables chercheurs et scientifiques :
  • Le Dr SEMMELWEIS (hygiène, contagion mais surtout respect du malade),
  • Le Pr. Antoine BECHAMP (les microzymas),
  • Le Pr. Louis-Claude VINCENT (la Bioélectronique),
  • Le Dr MASCHI (la nocivité des champs électromagnétiques),
  • Le Dr HAMER (La Médecine Nouvelle - apportant la clef des cancers, leucémies, sida, infarctus etc...)
  • Le Dr KALOKERINOS (la vitamine C et le problème de la mort subite du nouveau-né),
  • etc..
Ces nouvelles orientations m'ont permis de modifier ma trajectoire professionnelle.
Je n'ai pas fait de grande "découverte" à mon niveau, mais j'ai pu faire la synthèse de toutes ces connaisances.

Je pratique désormais - en tenant compte de mes nouveaux acquis - l'accompagnement en psychothérapie.
Je dispose par ailleurs d'un microscope à fond noir qui me permet d'explorer le monde de l'infiniment petit et d'approfondir la réalité des MICROZYMAS : le ROUAGE fondamental du VIVANT !
Rien n'est la proie de la mort, tout est la proie de la Vie !
Professeur Antoine Béchamp
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