Même si la grande "RELIGION MEDICALE OFFICIELLE" en a fait son "SACREMENT", il faut bien comprendre qu'ils résultent de directives gouvernementales, et non d'une science.J'ai mis bien du temps à le comprendre.Je suis persuadé aujourd'hui que la finalité des vaccins relève d'un génocide organisé – et pour le moment plus ou moins raté – orchestré par nos gouvernements successifs, depuis l’époque de M. Louis Pasteur au 19ème siècle.L’aventure actuelle du Covid risque, par contre, d’être beaucoup plus efficace. Il est d’ailleurs étonnant que cette expérimentation sauvage d’un soi-disant vaccin soit pratiquée aujourd’hui par des pompiers, des vétérinaires, des dentistes, des pharmaciens … et quand même parfois par des médecins. Il est donc clair qu’il ne s’agit pas d’un acte médical.
J’ai donc conseillé aux mamans d’attendre le 10ème mois pour commencer ces inoculations. Et là, j’ai constaté qu’ils se portaient à merveille, avant comme après les vaccins ! Plus jamais de bronchiolite asphyxiante, de gastro-entérite, d’asthme, d’infections ORL majeures. J’ai été le premier stupéfait.
C’est un de mes clients qui m’a ouvert les yeux sur la nocivité des vaccins, quelques années plus tard : il faut savoir que chaque vaccin renferme des « adjuvants de l’immunité » (terme officiel) dont le principal est l’HYDROXYDE d’ALUMINIUM. Selon le Dr Garnier du centre antipoison de Paris, ce produit est toxique pour le cerveau, les reins et le squelette de manière irréversible à partir de 60 microgrammes par litre de sang. Chaque vaccin en contenait 1250 microgrammes !
Début 1994, le ministre de la Santé de l’époque, M. Bernard Kouchner, lançait la campagne de vaccination contre l’hépatite B dans les collèges et les lycées de France. C’était le premier vaccin obtenu par génie génétique (OGM). Chaque dose contenait bien sûr 1250 microgrammes d’Hydroxyde d’Aluminium, qui venaient s’ajouter aux précédentes inoculations : il faut savoir que l’Aluminium n’est pas éliminé normalement par l’organisme humain car il est "confondu" avec le Fer – qui, lui, est vital pour le transport de l’oxygène dans le sang. Ce poison s’accumule donc dans le squelette, le cerveau et les reins.Je croyais encore à l’époque que vacciner était un acte médical, et je me suis permis d’écrire à mes confrères du Vaucluse pour leur recommander la prudence. J’ai envoyé des milliers de lettres – l’informatisation n’était pas encore au niveau actuel – c’était le seul moyen dont je disposais. Compte tenu de l’énormité du travail, j’ai demandé à mon Ordre départemental de diffuser mon courrier dans la revue que cet organisme envoyait régulièrement à tous les médecins de France.
Ces nouvelles orientations m'ont permis de modifier ma trajectoire professionnelle.
- Le Dr SEMMELWEIS (hygiène, contagion mais surtout respect du malade),
- Le Pr. Antoine BECHAMP (les microzymas),
- Le Pr. Louis-Claude VINCENT (la Bioélectronique),
- Le Dr MASCHI (la nocivité des champs électromagnétiques),
- Le Dr HAMER (La Médecine Nouvelle - apportant la clef des cancers, leucémies, sida, infarctus etc...)
- Le Dr KALOKERINOS (la vitamine C et le problème de la mort subite du nouveau-né),
- etc..