– La bioélectronique de Louis-Claude Vincent,– Les travaux de René Quinton sur les propriétés de l'eau de mer,– Ceux de Delbet et Neveu sur le magnésium,– Ceux de Linus Pauling sur la vitamine C,– Les transmutations biologiques de Louis Kervran,– Samuel Hahnemann et l'homéopathie,– Jacques Benveniste et la biologie numérique,– L’appareil à ondes multiples de Georges Lakhovsky,– Antoine Prioré et sa machine à guérir le cancer,– Rudolf Steiner et l'anthroposophie,– Reich et son orgone,– Paul Carton, la naturopathie, Alexis Carrel, Jean Solomidès, Mirko Beljanski et des dizaines d'autres. Et puis aussi la virologie, la recherche sur le SIDA et ses éminents dissidents (eux aussi frappés d'ostracisme), la génétique et ses contestataires...– Et enfin, toute une bactériologie interdite avec l'immense savant que fût Antoine Béchamp, rayé de l'histoire par et pour la gloire de Louis Pasteur, ainsi que les travaux de Jules Tissot, de Gaston Naessens, de Sorin Sonea et Maurice Panisset, avec pour corollaire la remise en question de la vaccinologie, sujet tabou par excellence pour lequel notre pays du bon Pasteur aimerait voir se rallumer des bûchers afin d'y purifier par le feu ces brebis égarées… Et par la même occasion, brûler en place publique tous ceux qui contestent la voie officielle de la cancérologie, et ce, bien sûr avec la bénédiction des laboratoires pharmaceutiques et des conseils de L'ordre.
Un aspect rassurant.Selon eux, on guérit de plus en plus de cancers, les traitements sont mieux tolérés, on progresse dans le dépistage. Cet aspect justifie les dépenses en matière de recherche … qui sont somptueuses ! Mon épouse et moi avons fait partie des généreux donateurs à l'époque ! Nous avons côtoyé cette maladie pendant neuf ans avant que ça ne “récidive” !Un aspect angoissant.Il y a de plus en plus de cancers, une personne sur quatre aura un cancer, on parle même maintenant d'une personne sur trois. Ce qui permet de justifier la demande croissante de crédits pour la recherche.Mais : souvenons-nous des campagnes orchestrées par l'A.R.C. sous la présidence de Jacques Crozemarie et du scandale de 1995 ! En ce qui me concerne, en octobre 1990, j'avais commencé à avoir des doutes très sérieux. J'avais ouvert un classeur que j'ai toujours, où j'avais écrit sur la couverture : “Le cancer, l'A.R.C., l'argent, les finances ?” et j'ai commencé à rassembler des éléments qui mettaient vraiment en doute cette “bonne cause”.D'ailleurs, un an après le décès de mon épouse, il y a eu un autre décès dans ma famille du côté de parents un peu éloignés, et on m'a dit : “à l'enterrement, pas de fleur, pas de couronne, pas de plaque, rien ! Simplement, faites tous un don à l'A.R.C.”. Et moi, en mon âme et conscience, je ne pouvais plus. Donc, dans ma famille, on a commencé à penser que je devenais fou, évidemment. Heureusement, en 95, on a compris que c'était moi qui étais dans le vrai au sujet de l'A.R.C. !
- “…l'immense majorité de ces publications ne font que de la paraphrase, redisent autrement ce qui avait été dit auparavant, présentent différemment ce que tout le monde sait ou presque”
- “…une rude compétition pour publier avant les collègues une banalité en vogue, ne serait-ce que pour ajouter une ligne à son CV”
- “…publier (en anglais) des articles que presque plus personne ne lit”