Selon la médecine psychosomatique, les cancers de la marge anale correspondent à des proliférations des glandes odoriférantes qui déterminent de manière spécifique notre identité.
Au plan psychosomatique, il faut savoir que le cerveau ne fait aucune différence entre un objet réel et un objet virtuel : une crasse abjecte est une "merde" et c'est le gros intestin qui est donc chargé de la digérer.En pareil cas, le cerveau ordonne le développement d'une tumeur en forme de choux-fleur à l'intérieur du gros intestin. Cette tumeur va pouvoir secréter des sucs digestifs en grande quantité afin de digérer la "merde" ! En général, cette phase est "silencieuse" : aucun symptôme n'alerte le malade.Lorsque le malade lâche prise par rapport à son stress, le cerveau ordonne le démontage de la tumeur. Celui-ci s'effectue grâce aux microzymas qui construisent sur place des bacilles tuberculeux pour en sectionner le pied.Ce travail s'accompagne d'une inflammation et d'un oedème important de l'ensemble de la tumeur qui double ou triple de volume en quelques heures. Très souvent, à ce moment-là, une occlusion intestinale se produit et le malade est obligé de consulter.
Au moment où la tumeur se détache de son pied, une hémorragie plus ou moins importante se produit au niveau de l'artère qui alimentait la tumeur.
La prise de vitamine C en quantités suffisantes (10 à 20 g par jour chez un adulte) permet aux microzymas de travailler beaucoup plus efficacement et de minimiser l'ampleur des problèmes à toutes les étapes du processus.