La Vitamine C - Alain

Alain SCOHY
Psychothérapeute
Travail somato-psycho-spirituel
Docteur en Médecine
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La Vitamine C

Vitamines
La VITAMINE C

La vitamine C n’est pas synthétisée par les primates, dont l’homme fait partie. Sans doute parce qu’ils étaient frugivores et vivaient en zone équatoriale ou tropicale il y a bien longtemps, probablement avant le déluge : ils avaient assez d’apports en vitamine C par les fruits spécifiques de ces régions particulièrement riches en vitamine C. Ils se sont donc dispensé de synthétiser cette précieuse substance et ont fini par perdre cette fonction définitivement.

La carence en vitamine C peut entraîner des troubles graves :
    • Le SCORBUT chez l'adulte
    • La MALADIE DE BARLOW chez le petit enfant, dont l’issue est la mort subite du nourrisson. Il faut lire à ce sujet le livre du Dr KALOKERINOS que j'ai traduit de l'anglais et qui est en vente sur le site ou auprès d'Edilivre.

Il faut éviter de prendre des produits à base d’acérola qui apportent trop de potassium et amplifient de ce fait les phénomènes inflammatoires, ou gonflent la couche de graisse sous-cutané (protection contre le froid).

Il faut également éviter absolument la forme LIPOSOMALE qui, contrairement à ce que beaucoup prétendent, n'a aucune action et qui coûte bien cher.

L’Acide L-Ascorbique PUR est synthétisé à partir du sucre végétal par transformation enzymatique microzymienne.

Dosages à recommander (déterminée en fonction des quantités synthétisées par les animaux qui en sont capables - pour un poids équivalent à celui de l'être humain) :
    • 1 g par jour et par année d’âge jusqu’à 10 ans…
    • Puis 8 à 10 g par jour en permanence ensuite (une cuillère à soupe approximativement). Doubler la dose en cas de maladie.

Légende des images ci-dessus en passant la souris sur la photo...

EXEMPLES CONCRETS

Cf. Livre : « Mort subite du nourrisson » du le Dr Archie Kalokerinos, et lire en particulier la mésaventure de Nancy YOUNG, accusée à tort du meurtre de sa petite fille, et relaxée le 5 novembre 1969 à Rome en Australie. (p 103 – 117).


Dans le cas du petit Lubin GUILMOT décédé dans le coma vers l’âge de 2 mois dont la maman a été condamnée pour "maltraitance à enfants" à 17 ans de prison ferme  en première instance ramenés à 10 ans en appel, on retrouve à l'autopsie  (d’après son avocate) :
  • Des hémorragies méningées, des hématomes sous duraux multiples, et des hémorragies intracérébrales ;
  • Des hémorragies diffuses : estomac, viscères en général un peu partout, (vomissements de sang les derniers jours) ;
  • Des hématomes partout ;
  • Des hémorragies au niveau de la rétine (impossible à attribuer à un traumatisme) ;
  • Des fractures multiples bien que l’on n’ait pas diagnostiqué de syndrome de Löbstein ;
  • Une immense fatigue chez la maman au cours et à la fin de la grossesse…
  • Aucune anomalie du bilan de coagulation par ailleurs malgré ce syndrome hémorragique diffus…

Il s’agit donc indubitablement d’une maladie de Barlow ! D’autant que les médecins ont bien noté que le bilan "conventionnel" de coagulation était normal !
À signaler que la maman a fait un abcès du sein et a donc dû stopper assez rapidement l’allaitement (solution d’un conflit de PEUR pour l’enfant avec « cancer » du sein).
Il est bien regrettable que la famille et l'avocate de Magali Guilmot n'aient pas choisi de plaider dans ce sens.

N.B. : à n'importe quel moment, une exhumation des restes du bébé et une mesure de la densitomètrie osseuse permettrait de prouver l'innocence de cette maman !
Rien n'est la proie de la mort, tout est la proie de la Vie !
Professeur Antoine Béchamp
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